Bolivie : pour qu’elles revendiquent leurs droits

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Bolivie : pour qu’elles revendiquent leurs droits
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Lutter contre les violences sexistes

Dans le monde, près d'une femme sur trois est victime de violences physiques ou sexuelles au cours de sa vie (OMS). Elles sont encore bien plus nombreuses à subir des violences psychologiques ou économiques. Ces violences ne connaissent ni frontières, ni barrières socio-économiques. Et les conflits, la faim ou encore le manque de perspectives économiques restreignent encore les droits des femmes.

Impact de la violence sur la participation sociale des femmes

La violence engendre une exclusion marquée des femmes de l'espace public, les confinant à une dépendance financière totale vis-à-vis de leurs époux. Cette situation limite non seulement leur autonomie mais réduit également leur capacité à participer activement à la société.

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Des femmes plus vulnérables

  • Au Sud-Kivu, l’abus de leur corps est devenu une arme de guerre.
  • En Bolivie, la violence domestique est davantage la norme que l’exception.
  • Au Bénin, seules 40 % des femmes adultes savent lire et écrire.
  • Au Cambodge, les agressions de très jeunes filles et les viols collectifs sont de plus en plus fréquents.
  • En RDC, des adolescentes qui sont enceintes contre leur gré et en dehors des liens du mariage sont chassées de leur famille, sans ressources.
  • Partout où nous travaillons en zone rurale, la plupart des femmes, qui participent pourtant activement au travail agricole, ne disposent pas des revenus de cette activité.

 

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Nos interventions

Chez Louvain Coopération, en collaboration avec nos partenaires et soutenus par l'expertise de nombreux académiques, nous nous engageons à combattre ces inégalités. Nos efforts sont axés sur :

  • L’entrepreneuriat féminin : les femmes sont soutenues dans le développement d’activités économiques dignes et viables, afin de devenir financièrement indépendantes.
  • L’alphabétisation : les femmes adultes qui n’ont pas pu aller à l’école peuvent suivre de cours d’alphabétisation.
  • La sensibilisation à la santé sexuelle et reproductive : les jeunes femmes sont informées sur leurs droits en matière de sexualité et sur la santé reproductive pour leur éviter des grossesses trop précoces ou non désirées.
  • Un soutien psychosocial aux femmes victimes de violences : elles sont prises en charge par des professionnels, participent à des groupes de paroles et sont soutenues dans la création d’une activité économique afin de disposer d’un revenu.
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Nous avons besoin de votre solidarité

Votre soutien est crucial. Pour que chaque sœur, fille, mère, grand-mère… puisse faire valoir ses droits.

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prise en charge médicale et psychologique de femmes victimes de violences. Prise en charge médicale et psychologique de femmes victimes de violences.

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une formation en entrepreneuriat pour le soutien à l'autonomie financière des femmes.

Une formation en entrepreneuriat pour le soutien à l'autonomie financière des femmes.

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suivi et accompagnement d’une femme qui lance sa propre activité économique.

Suivi et accompagnement d’une femme qui lance sa propre activité économique.

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Effectuez un don sur notre plateforme ou via le virement bancaire :
BE28 7323 3319 1920 Communication lors du versement : Campagne Droit des femmes digital.

Merci!

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Vos dons sont déductibles à partir de 40 € cumulés annuellement.

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Témoignage
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Guillermina
Témoignage

Je suis seule pour élever mes quatre enfants. Afin de subvenir à leurs besoins, je n’ai eu d’autre choix, pendant plusieurs années, que de travailler comme balayeuse de rue la nuit. C’était un travail pénible et dangereux et je devais laisser mes enfants seuls. Malheureusement, je n’en trouvais pas d’autres, car très jeune, j’ai dû quitter l'école et gagner de l'argent pour ma famille, en acceptant des emplois temporaires et mal payés.

Il y a deux ans, j’ai pu suivre une formation dans le domaine de la boulangerie commerciale et de la gestion administrative de base. J’ai aussi reçu des cours d’alphabétisation. Grâce à cela, j’ai pu lancer ma propre petite entreprise de boulangerie.

Au début, j’étais suivie et soutenue par un conseiller en entrepreneuriat pour m’aider dans la production et dans la vente de mes pâtisseries. Et, petit à petit, je me suis débrouillée seule. Je produis mes pâtisseries et je les livre dans différents endroits, des écoles notamment. Aujourd’hui, j’ai pu abandonner mon ancien travail et je vis de ma petite entreprise. Je suis indépendante. C’est un rêve qui s’est réalisé pour moi !

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Pour que d’autres femmes comme Guillermina puissent avoir un métier, être indépendantes financièrement et aient confiance en elles.

De tout cœur, Merci !